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Suleiman Battlefleet Set |
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Les ponts jumeaux du Suleiman Fleet Carrier sont remplis d'escadrons d'avions d'attaque Sabiha. Navire impressionnant, le Sultanat valorise la suprématie des cieux apportée par la classe Suleiman. Alors que ses coques jumelles le rendent plus lent à tourner que d'autres navires de sa taille, sa capacité en tant que navire amiral dans un groupe d'assaut de porte-avions montre les énormes progrès réalisés par les Ottomans grâce aux investissements massifs de la Sublime Porte.
Lorsque les progrès des roues magnétiques ont été acquis par la Sublime Porte pour sa marine, c'est la classe Iskandar qui a d'abord porté les fruits du développement. Rapidement, ces croiseurs sont devenus le pilier d'une armada très mobile, faisant un excellent usage de l'ingénierie pour apporter la gloire au Sultanat.
Les ennemis du peuple ottoman ont raison de craindre le croiseur lourd Sadrazam s'ils en voient un se profiler à l'horizon. Avec une puissance de feu comparable à celle des croiseurs lourds d'autres nations, mais la capacité de déjouer presque tout ce qui se trouve dans sa classe, un capitaine chevronné en tirera parti et dévastera l'ennemi.
Les croiseurs légers Pasha sont régulièrement trouvés à la tête des flottes de bataille du Sultanat. Une étrange tradition s'est développée parmi les équipages, en particulier ceux à bord de Pasha qui ont été équipés de projecteurs à particules. C'est considéré comme un grand honneur d'être le premier à brûler un navire ennemi, d'autant plus s'il s'agit d'un vaisseau amiral. Ces courses à l'engagement sont considérées comme imprudentes par les commodores plus âgés et plus traditionnels, mais même eux doivent admettre la bravoure des capitaines Pacha et de leurs équipages.
Le tirant d'eau relativement faible du moniteur d'Izmir en fait la défense parfaite pour les estuaires. Lorsqu'il n'est pas si près de la terre ferme, il est souvent associé à un porte-avions pour utiliser n'importe quel escadron comme observateur. De nombreux sous-marins ennemis sont tombés sous le coup d'un Izmir travaillant aux côtés d'un Suleiman ou d'un Constantinople.
L'équipage de conduite de Constantinople Carriers est à juste titre fier de sa mission. On dit que "le sang d'un ailier est plus épais que l'eau de l'utérus" et c'est certainement le cas pour ces pilotes. Ces combattants aériens sont comme une famille très unie car ils savent qu'ils ne peuvent compter que sur l'autre une fois que les combats commencent et ne laissent pas les étrangers l'oublier.
Le Mihrimah Flechette Cruiser est armé d'une arme unique au Sultanat. Il peut déchaîner un torrent de fléchettes d'orichalcite de ses bombardements sur une cible. Ces fragments légers et fins comme des rasoirs sont si tranchants qu'ils peuvent perforer les coques en acier de près, bien que la résistance de l'air les empêche d'être efficaces à plus longue distance. Bien qu'ils puissent certainement endommager les croiseurs, ils sont mortels contre les escadrons de petits navires. Un nuage de fléchettes peut facilement envelopper plusieurs récipients et déchiqueter l'acier et la chair.
Alors que les esquifs d'escorte Ferik du Sultanat sont omniprésents dans leurs flottes de combat, ils ont besoin d'un entretien fréquent pour maintenir leurs moteurs de répulsion en état de marche, c'est là que le Konya entre en jeu. Une baie à l'avant du navire permet à un esquif d'être chargé et réparations à effectuer. Bien qu'un commodore sache qu'un Konya manque de puissance de feu, il ne regrette jamais d'en avoir un à proximité.
Un Aydin Supply Cruiser est un spectacle bienvenu pour les autres équipages. Savoir qu'ils ne manqueront pas de nécessités vitales à tout moment est un énorme coup de pouce pour le moral et pour cette seule raison, ils sont constamment en mouvement, allant de flotte en flotte, ne se dirigeant à terre que pour se réapprovisionner.
Les poseurs de mines de Morée sont devenus plus courants à mesure que les tensions s'intensifient. Les commandants du Sultanat comprennent qu'ils doivent conserver leurs possessions dans le monde à tout prix tandis que les conseillers de l'Ordre insistent sur le fait que tout est nécessaire pour faire avancer le plus grand bien. Alors que la marine marchande du Sultanat n'aime peut-être pas que la mer soit minée, elle est lentement nourrie d'histoires qui prouvent à quel point elle peut être vitale.
Le kit Suleiman Battlefleet Set construit neuf-dix figurines en plastique et en résine en plusieurs parties et 3 jetons SRS ;
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